“Tout, mais pas donner la mort aux personnes en fin de vie ; tout, mais pas la démission de la société et de la médecine face aux souffrances et aux angoisses de la fin de vie ; tout mais pas la mort comme solution à la souffrance, à la solitude et au désespoir.
Il y a d’autres solutions à proposer, innover, développer : accompagner, aider à mieux vivre la fin de vie, déployer tous les moyens humains pour apaiser, écouter, dans le respect de la personne humaine souffrante et par des moyens médicaux quand il le faut. Pour cela, la Fondation ne peut agir seule : les personnes en fin de vie, que nous serons tous un jour, ont besoin de chacun d’entre nous.”